mardi 28 février 2012

Smartphones et tablettes changent les habitudes de navigation des consommateurs


ComScore prédit que la concurrence entre les systèmes d'exploitation va s’intensifier, en particulier pour capter les dizaines de millions des consommateurs qui achèteront un smartphone au cours de l'année. En 2012, leur taux de pénétration franchira le seuil des 50% aux États-Unis, au Canada et dans l’Europe des cinq(1), le Royaume-Uni et l'Espagne ayant déjà atteint ce seuil au cours de l’année 2011. Ce type de mobile s’avère le plus populaire auprès des 25-44 ans.

Aux États-Unis comme en Europe, les systèmes d'exploitation jouent déjà un rôle crucial dans les décisions d'achat de supports connectés, même si la qualité du réseau reste le premier critère de choix. Cette concurrence ne porte pas uniquement sur les premiers acheteurs de smartphones. Il s'agit aussi d'obtenir la fidélité des mobinautes, tant la compétition est grande, à la fois sur l’innovation et sur les offres.

Cependant, Android de Google et l’iOS d’Apple apparaissent comme des leaders face à Windows et RIM, qui cherchent un second souffle. Les différents modèles d’iPhone se positionnent aux trois premières places des mobiles les plus vendus aux États-Unis en 2011, les deux premières dans les cinq pays européens étudiés. Mais la part de marché des mobiles sous Android atteint 47% aux États-Unis contre 30% pour l’iOS d’Apple, 31,2% contre 20,7% dans l’Europe des cinq.

Aux États-Unis, déjà 8% du trafic sur Internet provient d’un smartphone ou d’un appareil mobile. En Amérique, les catégories consultées les plus en progression portent sur la santé, la vente sur Internet, les magazines masculins, le paiement électronique… Plus de la moitié de ceux qui utilisent les réseaux sociaux le font de façon quotidienne.

En 2012, la guerre des plateformes va s’étendre aux tablettes. Jusqu’ici, Apple a dominé avec son iPad mais, selon ComScore, l’arrivée sur le marché de modèles sous Android, moins chers, pourrait changer la donne. L’adoption de cet appareil connecté s’est accélérée, grâce à la multiplication des offres sur ce marché : le Kindle Fire d’Amazon et Nook de Barnes & Noble ont marqué un tournant critique dans l'adoption de masse des tablettes, grâce à la fois à un prix attractif, à des spécificités techniques compétitives et à une marque solide. Les tablettes s’imposent comme le quatrième écran avec la télévision, l’ordinateur et le smartphone.

L’adoption des smartphones et des tablettes crée une rupture dans nos habitudes de consommation, selon ComScore : le webmail comme la consultation de la météo et des cartes sur son PC sont en déclin. Les ventes sur Internet vont s’accélérer, au détriment des enseignes physiques et la dématérialisation des CD et des livres va continuer. "L’omnivore digital", l’internaute qui utilise plusieurs plateformes, va particulièrement intéresser les éditeurs et les annonceurs. Les premiers pourront atteindre une audience plus large et vendre davantage de publicité. Pour les seconds, il s’agira de savoir s’adresser à cette audience selon la plateforme utilisée pour optimiser les campagnes. En tout cas, ComScore conclut que les différents appareils connectés sont complémentaires et que tout l’enjeu des annonceurs sera d'appréhender le comportement des consommateurs selon les supports utilisés.

Source e- marketing.fr par Florence Guernalec




jeudi 23 février 2012

Pourquoi faut-il arrêter d’opposer les applications et les webapp...

Voici un article très intéressant publié sur le journal du net rédigé par Alexandre DOUMITH,

"En effet, depuis l’origine du fabuleux succès des applications soit, depuis 2008, une question s’est posée : « qui des applications ou des webapp va gagner ce combat fratricide et s’imposer sur nos Smartphones ? »

Débat qui, au début, n’intéressait qu’une poignée de spécialistes et/ou de geeks et qui avec, la belle et constante domination de l’iPhone, le succès d’Android, les belles promesses de Windows Phone et les « restes » toujours actifs de Black Berry et de Symbian, s’est étendu à toute personne, société, agence qui s’intéresse, de près ou de loin, au mobile.

Or, à ce jour, force est de constater que personne n’a vraiment répondu à cette question et que, bien malin, celui qui sera capable de nous dire, tel le messie, laquelle de ces deux technologies va s’imposer au détriment de l’autre. Preuve en est que l’une des premières questions que nous posent nos clients quand ils viennent nous voir, nous agence mobile, reste encore et toujours : « une application est-elle mieux qu’une webapp ? le web mobile est-il plus fort que le modèle applicatif et va t-il s’imposer dans les mois/années à venir ? » et « donc que dois-je développer pour offrir à ma marque la meilleure exposition possible ? »

Pourtant, ce n’est pas faute d’avoir débattu sur la question. On ne compte plus les articles, interviews, tribunes, listant, de manière souvent très pertinente et éclairée, les avantages et faiblesses de chacune des technologies en se risquant, en conclusion, à un timide début de réponse. Je l’avoue, j’ai moi-même participé à ce débat en me risquant à anticiper la victoire du web mobile sur le modèle applicatif. Mais c’était il y a 3 ans, des années lumières dans l’univers du digital !

Et si cette absence de réponse était, tout simplement, due au fait que cette question de la prédominance d’une technologie sur une autre n’avait pas lieu d’être !

En effet, comme vous l’aurez compris à la lecture du titre de cette tribune, je pense vain et erroné de vouloir continuer à opposer ces deux technologies en cherchant désespérément à savoir celle qui va s’imposer. Loin de s’opposer elles sont complémentaires et répondent à des usages, des attentes différentes de la part des utilisateurs/clients.

Maintenant, vers quelle technologie se tourner ?

Le meilleur moyen de répondre ne serait-il pas de s’attarder un peu plus sur l’usage plutôt que sur les avantages et inconvénients de chacune des deux technologies.

Comme évoqué plus haut, je suis convaincu que les attentes et les usages des consommateurs ne sont pas les mêmes entre une application ou une webapp et ce, même s'ils n'en sont pas (encore) conscients.

Quand on télécharge une application, acte positif et impliquant, on attend, a minima, un service, un usage, un aspect ludique et/ou pratique. L'utilisateur, de plus en plus connaisseur, impose un certain niveau d'exigence (et c'est tant mieux pour nous, agences mobiles) pour "faire l'honneur" à cette application de figurer au sein de son téléphone.

Cette exigence en termes d’usage se traduit principalement de trois manières :

1. exigence qualitative (graphique et technique),

2. exigence de service, l’application doit me servir à quelque chose,

3. exigence de récurrence. L’application doit être utile et ce, le plus souvent possible, car sinon je l’oublie et/ou la désinstalle.

Ce niveau d'exigence est facilement mesurable quand on sait que sur 3 applications téléchargées, 2 sont désinstallées dans les 24H00, pour ne pas dire dans les 3 min !

En ce qui concerne une webapp la démarche de l'utilisateur (parcours client comme psychologique) n'est pas la même.

Il recherche une info voire un service, il tape sur google et trouve, un site optimisé pour son smartphone (première bonne nouvelle car ils ne sont pas nombreux 12% selon Google) qui lui donne ce qu'il recherche. Il ne crée pas une relation particulière ni sur le long terme avec cette webapp, il n'a donc pas les mêmes attentes et donc, exigences.

J'illustre mes propos par un exemple (totalement imaginaire) : Un des mes clients, un club de voyages qui vend des séjours tout compris, veut assurer la présence de sa marque sur le mobile, il me demande « Application ou WebApp ? ».

Je lui demanderai tout d'abord quel est son objectif et quel est l’usage qui va découler de son service mobile.

S'il veut élargir les canaux de diffusion de ses offres et même proposer l'acte d'achat sur un mobile, je lui proposerai sans hésitation la WebApp.

En effet, un utilisateur va t-il télécharger et surtout, conserver, une application qui lui présente « uniquement » des offres de séjours et dont il va se servir, au mieux 2-3 fois par an et, au pire, 1 fois tous les deux ans ? La réponse est clairement non et s'il la garde c'est qu'il a oublié de la supprimer et le résultat sera le même : elle ne sera jamais utilisée.

Il sera beaucoup plus pertinent, facile et efficace pour l’utilisateur d’effectuer une recherche via google lui permettant d’accéder au site du Club XXX qui, bien référencé et optimisé pour les smartphones, lui proposera toutes les offres adaptées à sa demande.

Ma réponse n’aurait pas été la même si le but de mon client était d'offrir un service pratique qui va au delà de la présentation des offres et de l'achat de billets, un service répondant à une demande et un usage, un service récurrent et ce, que l'on soit client ou pas de ce Club, le tout dans le but de créer une affinité forte avec ses clients et prospects mais aussi pour faire le buzz. Alors là, oui, l'application s'impose.

Vous l’aurez compris, l’analyse se fait au cas par cas, mais les critères d'usages sont toujours les mêmes.

Evidemment, si l'on fait les deux, (application + WebApp) ce qui me semble être la logique, (n'oublions pas que d'ici 2013/2014 plus de gens surferont sur le Web via un mobile que sur un PC), alors des passerelles seront mises en place pour générer du trafic d’une plateforme vers une autre.

Voyages SNCF a bien adopté cette logique de l’usage.

Pour ses clients réguliers elle a non seulement développé une application permettant de consulter et réserver des billets, mais aussi une application « Compagnon » qui permet de bénéficier d’une multitude d’informations sur son train, sur les gares de départ et d’arrivées…

Pour ses clients occasionnels, une WebApp efficace et ergonomique qui offre tous les services nécessaires à la réservation de son billet.

En conclusion, n'opposons plus les Applications et les WebApp, arrêtons d’essayer de deviner si une technologie va s’imposer sur une autre, car nous savons par expérience que les prévisions dans notre secteur sont plus qu’aléatoires.

Faisons preuve de modestie et remettons l’usage au centre de nos réflexions. Ce ne sont ni les marques, ni les agences qui définiront les usages de demain, mais bel et bien les consommateurs qui, grâce à leur adoption massive et rapide des technologies digitales (bien plus rapide que celle des marques et agences) nous montrent la voie."

source : http://www.journaldunet.com

QR Code Géant: Nouveau record


L'Air en Fête (AEF), une entreprise spécialisée dans la gestion de camps de jours a réussi son pari en réalisant ce samedi 18 février 2012, un QR code géant. Le défi réalisé est une opération de communication qui marque le début de la campagne d'inscription aux camps de jour 2012 qui seront cette année sous le thème «Un été plus grand que nature !»
Pour y arriver, plus de 400 personnes, des animateurs et animatrices de l'AEF, des parents et jeunes campeurs de l'AEF et amis se réuniront à St-Janvier de Mirabel (QC) sur le terrain adjacent de l'AEF. Tenant des panneaux noirs de 5pi X 5pi, ils formeront le plus gros code QR au monde.C'est en volant avec un hélicoptère à plus 1000 pieds que le code sera validé!

À titre de référence le code QR est l'équivalent de:

5 terrains de tennis
50 voitures stationnées
1 piscine olympique

45 allées de bowling
20 280 chats
Toutes les pages côte à côte du bottin téléphonique de Montréal






mercredi 22 février 2012

Les tablettes en forment. l'Ipad en tête.

Selon GfK, il se vendra cette année 3 millions de tablettes en France, portant à 5 millions le nombre d'utilisateurs.

L'iPad pourrait représenter 97% du marché des OS pour tablette selon une étude de userADgents qui indique également que les tablettes pourraient représenter 10% du Trafic Internet en France, réalisé 90% en Wifi et 21% depuis son lit et 30% devant la TV

dimanche 19 février 2012

25 Milliards d'Applications téléchargées sur App Store


Apple en passe de dépasser les 25 milliards d’applications téléchargées sur App Store !

Apple organise un « concours » la personne qui téléchargera la 25 milliardième application, se verra offrir une carte cadeau App Store d’une valeur de 10 000 $.

Compte à rebours sur le site
de Apple Store

jeudi 16 février 2012

QR Code et WebApp pour Icona Mag


Dans le cadre des Trophées de la Communication Visuelle, la couverture du numéro spécial Icona d'Or 2012, du magazine ICONA Mag se pare d'un QR Code spécialement créé pour l'occasion. Il est associé à une WebApp dont le contenu, évolutif, retrace les moments forts de l'évènement organisé au Cirque d'Hiver par l'agence IRISCOMM

Icona Mag est une publication du SYNAFEL : syndicat national de l'enseigne et de la signalétique. Ce magazine s'adresse aux designers, architectes, enseignistes, signaléticiens, maitres d'ouvrage, services communication, clients utilisateurs.

L'agence BlueTouchCommunication accompagne le Synafel en réalisant la couverture du magazine, le QR Code Design et la WebApp.
A l'intérieur du magazine, on retrouve des indications sur les finalités et l'utilisation du QR Code

mardi 14 février 2012

Les Tendances clés qui façonnent le marché du mobile en 2012

Élaborer une stratégie mobile qui s'étend au-delà des téléphones.

L'émergence des tablettes - avec des taux d'adoption devrait atteindre 12% en Europe et 19% de la population américaine d'ici la fin de l'année 2012, Cela nécessitent une approche différente de celle des Smartphones. eReaders va offrir une base importante installé ainsi il va attirer l'attention de quelques industries, et Forrester s'attend à voir une pléthore de nouveaux appareils qui se connectent à l'Internet, soit directement ou via l'appareil mobile.

Différencier l’expérience utilisateur.

L’avantage du premier entrant se réduit maintenant que la plupart des marques ont une présence minimum sur le mobile. La différentiation viendra davantage de la capacité à créer des expériences plus simples et encore plus intuitives qui utiliseront au mieux les caractéristiques uniques du mobile (intimité, immédiateté, contexte). L’importance accordée au design et à l’expérience client fera la différence pas à ce qu'ils offre !!!

Amazon et Facebook vont jouer un nouveau rôle dans la distribution de services mobiles.

Amazon ne réussira pas à répliquer l’approche du Kindle sur le marché très encombré des smartphones pas plus que Facebook n’investissera avec succès dans un téléphone. Bien que leurs rôles respectifs dans l’univers mobile soient encore flous, Amazon et Facebook ont tous les atouts pour devenir des plateformes de distribution de contenus et services mobiles. L’utilisation de leur savoir-faire dans la gestion de communautés de développeurs ou dans leur capacité à faciliter la découverte de services mobiles par des outils de personnalisation et de recommandation en fera probablement des alternatives à l’Android Market ou à l’Apple Store.


source : http://www.servicesmobiles.fr