dimanche 30 mars 2008

QR Code, Code barre 2D, Marketing Ecologique !

Les Code QR (Quick Response - Réponse Rapide), matrice de pixels, ou code barre 2D sont en fait les successeurs des codes barres traditionnels que l’on connait bien chez nous.
Ils contiennent des informations relatives à un produit ou à un service.

pictogramme noir et blanc que l’on prend en photo avec son téléphone mobile via un petit logiciel (préinstallé ou à télécharger / voir ci-dessous) a une compression plus grande que les codes barres traditionnels,ils supportent les caractères exotiques (accentués et japonais),ils peuvent être lu même quand ils sont abimés (dégradation de max. 30%),il contenient plusieurs milliers de caractères alphanumériques : 2 mode possible , textuel ou hypertextuel (cliquable) et comporte entre 60 et 80 caractères ; ce peut être du texte, formaté ou non (carte de visite), un numéro de téléphone (appel d’un clic), une URL (navigation wap, web), un mail (envoi mail + objet automatique), un SMS etc…

Pour l’utilisateur final, un code 2D peut être généré sur le web, scanné via son téléphone mobile, reçu par SMS ou MMS comme une contremarque (billets de concerts, tickets de train…). De plus, un code 2D peut diriger vers une plate-forme mobile de paiement et ainsi enclencher un acte d’achat.

Un code 2D s’imprime, se publie, se projette, se colle, s’affiche sur n’importe quelle surface physique (y compris un écran) et peut être de n’importe quelle taille (min. 1,7 cm X 1,7 cm à plusieurs mètres²)
source :mobilecrossmedia.blogspot.com/

Lire l'article sur le m-ticket, solution écologique proposé par BlueTouchCommunication au service du FIIE

samedi 29 mars 2008

BlueTouchCommunication propose du "Marketing Ecologique" via le Code Barre 2D

A l’occasion du Festival Internationnal de l'Image Environnementale (du 15 au 21 mai), BlueTouchCommunication apportent des solutions écologiques issues du marketing mobile. Vous pouvez dès à présent envoyer FIIE au 31 024 et générer votre m-ticket. Les technologies Code Barre 2D et Marketing Bluetooth seront aussi au rendez vous…

mercredi 26 mars 2008

Le mobile fonctionne en plein vol


AeroMobile permet aux utilisateurs de téléphoner même à bord d'un avion. Cette connectivité est rendue possible par un réseau satellitaire.

Les passagers d'un avion peuvent désormais passer leurs appels à bord. Telenor a ainsi annoncé que le premier appel sur mobile autorisé sur un vol commercial a été réalisé le 20 mars, à bord d'un EK751, entre Dubai et Casablanca. Ce coup de téléphone a été rendu possible grâce au système AeroMobile, un programme engagé conjointement par Telenor et ARINC, spécialistes des communications mobiles via satellite. Selon Telenor, ce système devrait permettre de faciliter et peu à peu de généraliser les appels en vol. Un système motivé par l'observation suivante : les consommateurs utilisent de plus en plus les outils de communication mobile et sans-fil et en parallèle voyagent plus, et sur de plus longs trajets. Les chiffres montrent ainsi que les passagers sont nombreux à ne pas vouloir faire le choix entre connectivité et mobilité. Des évolutions qui rendaient donc indispensable le développement des communications mobiles à bord des avions.

Un passager toujours plus connecté

Basé sur l'utilisation des technologies de communication déjà existantes au sein d'un avion, AeroMobile exploite en parallèle des technologies satellitaires, comme les systèmes de transmission Satcom et les services Inmarsat et Ku band. Une combinaison qui offre aux voyageurs et à l'équipage la possibilité d'utiliser mobiles et PDA en toute sécurité, et tout en restant compatible avec le fonctionnement de l'avion. Le modèle de transmission supporte ainsi la diffusion de messages textes, d'appels vocaux et de données. Pour les passagers, l'utilisation est simple : les appels et connections se font sur le même mode qu'à terre. En ce qui concerne le coût pour l'utilisateur, les coups de téléphone sont facturés par l'opérateur mobile du passager comme des appels internationaux en roaming. Une couverture complète est assurée même au cours des longs courriers via le réseau satellite Inmarsat.

Des mesures de sécurité conservées

Du point de vue des constructeurs aéronautiques, l'architecture d'AeroMobile est modulable, et peut être installée dans différentes configurations. Le système ne cause pas de surpoids et assure un coût d'installation raisonnable et des frais de maintenance réduits. Reste cependant certaines restrictions pour le passager concernant l'utilisation de son téléphone portable en vol. Les voyageurs devront ainsi demander l'accord du personnel de bord avant tout appel. Par ailleurs, le système sera opérationnel seulement pendant la période de "croisière" de l'avion, c'est-à-dire en dehors des phases d'atterrissage et de décollage. Ainsi durant ces deux étapes, les passagers devront toujours s'assurer que leurs appareils sont bien éteints. La société travaille au développement d'autres services de données, comme le GPRS ou encore l'accès au Wi-Fi.

source :www.atelier.fr

samedi 22 mars 2008

40% des Japonais surfent avec leur téléphone mobile dans leur bain


Plus de 40% des Japonais disent avoir déjà utilisé leur téléphone portable dans leur baignoire, pour téléphoner, écrire des e-mails, écouter de la musique ou encore jouer, confirmant ainsi qu’ils sont désormais inséparables de cet appareil à tout faire.

Selon une vaste étude conduite en décembre dernier par le fabricant de jeux nippon Sega, et dont les résultats ont été publiés lundi, 41,2% des 16.250 personnes de tous âges interrogées indiquent avoir utilisé au moins une fois leur mobile en prenant un bain.

Cette pratique concerne presque autant les hommes que les femmes, quel que soit leur âge. Cependant, elle est deux fois plus fréquente chez les 10-19 ans (53%) que dans les autres tranches d’âges où la moyenne s’établit à 26%. Les plus de 50 ans sont quand même près de 20% à s’être déjà prélassés dans un bain avec leur téléphone, et même 25% dans le cas des femmes.

Parmi l’ensemble des sondés, 29% précisent qu’ils se sont servis de leur mobile dans la salle de bain pour échanger des e-mails, 28% pour écouter de la musique, 12% pour jouer et seulement 9% pour téléphoner.

Constatant cette habitude, certains fabricants de terminaux high-tech nippons proposent désormais des téléphones étanches “à utiliser sans risques même en se baignant”.

Les Japonais sont des fanatiques des innombrables fonctions désormais intégrées dans les téléphones portables, à commencer par l’échange de courriers électroniques, la consultation de sites multimédia ainsi que l’achat de musiques à télécharger et à écouter directement avec le terminal. L’usage est renforcé par le fait que près de 85% des quelque 106 millions de Japonais clients d’un service cellulaire ont déjà souscrit à une offre de troisième génération (3G) adaptée à ce type de fonctionnalités avancées.

Publié par : AFP

Quand le mobile se fait polyglotte

Le mobile va bientôt remplacer le dictionnaire de poche. C'est en tout cas l'objectif de Linguatec, spécialiste des logiciels de traduction pour ordinateurs, qui lance un programme pour mobile baptisé "Shoot & Translate". Toujours au stade beta, c'est le premier logiciel de photo traduction pour les téléphones portables. Son fonctionnement se fait en trois étapes : l'utilisateur prend d'abord une photo avec son mobile. L'image est ensuite scannée et le texte en est automatiquement extrait avant d'être traduit. Le texte peut bien sûr être rentré manuellement, à partir du clavier. Mais ceci reste un exercice délicat lorsqu'il s'agit d'une langue étrangère mal maîtrisée. Shoot & Translate propose donc une alternative pratique en se basant sur la fonction appareil photo du téléphone. Un dispositif qui s'avère très utile en vacances ou en déplacement à l'étranger, et plus ergonomique qu'un dictionnaire en papier. Ainsi menus au restaurant ou panneaux de signalisation sont traduits automatiquement.

Traduction en trois temps

"On assiste de plus en plus au développement de technologies liées à la reconnaissance visuelle", commente Thomas Husson, analyste mobiles chez Jupiter Research. "La tendance actuelle, qui met au coeur de notre quotidien mobiles et smartphones, fait que ce genre d'applications se développent toujours plus sur les appareils terminaux." Shoot & Translate fait ainsi appel à plusieurs technologies innovantes. Le texte est reconnu et extrait de l'image via le logiciel OCR (Optical Character Recognition), et est ensuite traduit automatiquement. Dans ce processus intervient la fonction de correction nommée SmartCorrect. Cette dernière permet de reconnaître des mots mal écrits : ainsi " snadwitch au raost beefe " est bien compris " sandwich au roast beef " par le système.

Par ailleurs, le résultat de la traduction peut apparaître en version texte, mais aussi en mode vocal. Linguatec s'est en effet associé avec SVOX, fournisseur de solutions Text to Voice.

Source: www.atelier.fr

jeudi 20 mars 2008

Nokia Nseries encourage la création

Nokia_nserie Dans le cadre de la promotion du Nokia N95 8GB et du partenariat avec la sortie française du film [REC], Nokia a annoncé l’ouverture du site lenouvelepisode.fr qui présente l’ensemble des fonctionnalités du « multimédia computer » autour des thématiques gaming, musique & film. Cette plateforme communautaire intègre aussi un jeu concours axé sur la production de court-métrages autour du partenariat REC .Ce concours permet aux 5 meilleurs scénaristes et vidéastes amateurs d’apparaître dans les bonus du DVD commercialisé en octobre prochain et de se voir offrir un téléphone Nokia N95 8GB.

source : www.servicesmobiles.fr

mardi 18 mars 2008

Twitter rêve de remplacer le SMS

Lancé au début 2006, Twitter a amené des centaines de milliers de personnes à pratiquer le mini-blogging qui consiste à informer en direct vos amis de ce que vous faites en envoyant des messages type SMS. Les raisons du succès détaillées par Blaine Cook, l'ingénieur qui a créé Twitter.

Après le blogging, voici le mini-blogging. Et la vedette incontestée de ce nouveau phénomène est un service lancé en mars 2006 baptisé Twitter, qui veut dire "gazouiller" en anglais. L'idée est d'envoyer des messages courts, de 140 caractères maximum, sur tout ce que vous faites, à une cohorte d'amis qui vous "suivent" en temps réel. Et ce d'autant plus que ce "flux" de gazouillage peux transiter sur Internet ou via SMS. Twitter compte aujourd'hui plusieurs centaines de milliers d'adeptes quotidien à travers le monde. Derrière se cache une petite équipe de moins de 10 developpeurs confirmés en Web 2.0. Le fondateur n'est autre qu'Evan Williams, déjà à l'origine de Blogger, le service de blogging vendu à Google. Williams a ensuite créé sa start-up, Obvious, à San Francisco dont sont sortis deux projets: Odeo, un service de podcast et Twitter. Le premier a été vendu. Tandis que le second est désormais une entreprise indépendante. Tour d'horizon avec Blaine Cook, l'ingénieur qui a créé Twitter.

Comment expliquer le succès de Twitter?
Difficile d'isoler une raison en particulier. Nous utilisions Twitter en interne pour communiquer entre nous quand nous avons décidé de l'ouvrir au public au début 2006. Cela n'a pas vraiment attiré beaucoup de monde jusqu'à South by Southwest (un festival de musique organisé chaque année à Austin, Texas, NDLR), un an plus tard. Là, cela a littérallement explosé. Les gens ont utilisé Twitter pour trouver les soirées les plus sympas et y retrouver leurs amis. South by Southwest vient de se terminer cette semaine, et nous avons atteint notre pic de trafic. Twitter est une nouvelle forme de communication instantanée, en temps réel, avec un côté communautaire. Les gens l'utilisent beaucoup pour être au courant de ce que font leurs proches mais je l'utilise aussi dans le cadre du travail, pour préparer des réunions par exemple.

Mais il y a déjà la messagerie instantanée ou le SMS pour cela. Pourquoi un twitt?
Twitter utilise beaucoup le SMS. Cela nous coûte d'ailleurs vraiment cher. Mais ce n'est pas fiable car on ne sait pas si le destinataire l'a reçu ou pas. J'aimerais remplacer SMS par XMPP, un protocole Internet pour la communication en temps réel. Mais il faudra attendre que plus de mobiles le supportent. Avec Twitter, on a repris la simplicite du SMS: du texte et une limite de 140 caractères. Et on l'a ouvert à Internet. Je ne peux pas vous dire combien nous avons d'utilisateurs mais notre API, utilisée par les applications tierces (extérieures à l'entreprise, ndlr), a trois à quatre fois plus de trafic que notre site Web. Car en fait, Twitter est une plateforme. C'est peut-être d'ailleurs une autre raison de notre succès. Vous pouvez envoyer ou recevoir un twitt depuis votre PC, Facebook, un mobile, un client de messagerie électronique ou n'importe quelle application qui se connecte à notre plateforme/API. Le côté asynchrone constitue un autre point fort. Vos messages arrivent lorsque vous vous reconnectez au service. Vous n'avez pas besoin d'être constamment en ligne.

Au-delà du texte, comptez-vous ajouter de la photo ou de la vidéo?
Nous n'avons pas encore essayé. D'abord, parce que cela reste compliqué d'envoyer une photo ou une vidéo depuis un mobile. Même avec un iPhone. Et puis, il existe déjà des applications qui incluent des photos, des vidéos ou même des fichiers dans un flux Twitter. Notre priorité est aujourd'hui d'améliorer notre infrastructure et d'ajouter des nouvelles fonctions autour de notre plateforme actuelle (comme la notion de groupes, NDLR).

Les SMS vous coûtent cher mais le service est toujours gratuit, non?
Effectivement. Mais la monétisation du service n'est pas la priorité pour l'instant.

Avez-vous des concurrents?
On parle beaucoup de Jaiku (racheté par Google, NDLR) et de Pounwce comme nos principaux concurrents. Je ne crois pas. Ils ont tous les deux leur audience et leur usage. Mais le marché du micro-blogging est encore naissant et il y aura de la place pour tout le monde
source: www.lexpansion.com

lundi 17 mars 2008

On-the-Go Mobile Purchases, Banking on the Rise


One in four cellular phone users with mobile internet access now use their devices to buy goods and services online, with nearly one in five saying they would like to someday use cell phones as a “mobile wallet,” finds a Harris Interactive study.

Other findings:

  • Smartphone or iPhone users are more likely to “occasionally” use their device to make purchases - 25% said so, compared with 17% of mobile or cellular phone users.
  • 77% of mobile users have “never” made a purchase with their device, compared with 65% of those with smartphones or iPhones.

Mobile Applications

Some 16% of mobile phone subscribers already use mobile banking services, and 60% of them use the services at least once a week, the study found.

Consumers not currently banking or buying on-the-go expressed interest in having such applications on their mobile phones:


  • Checking bank account balances/transfer funds (35% selected this app)
  • Receiving text message alerts from financial institutions (33%)
  • Shopping (16%)
  • Making wire transfers and stock-trading (9% each)

“Today’s mobile devices are the springboard for a whole raft of services, with huge pent-up demand for mobile commerce capabilities,” said Joseph Porus, vice-president, Harris Interactive.

“If security concerns can be quelled, the sky’s the limit with consumer acceptance of mobile banking and purchase transactions. It’s a very intriguing prospect for the near future, considering how people have already embraced a variety of mobile technologies beyond simple phone communications.”

Couponing mobile

Coupons, bons de réduction "eau de javel, couches et papier hygiénique" sont à venir sur mobile. Plusieurs sociétés Procter & Gamble, Clorox, Del Monte, General Mills et Kimberly-Clark ont passé un accord avec le géant Kroger. Le projet est certainement le plus grand test de coupons mobile à ce jour et peut-être même l'une des plus importantes entreprises dans le marketing mobile aux États-Unis. Le but est d'atteindre les familles des 25-35 ans qui sont susceptibles d'avoir des besoin grandissant....


Un pilote à été effectué, les consommateurs devait télécharger Cellfire (la solution compte environ un demi-million d'utilisateurs aujourd'hui, et 70% ont moins de 35 ans), une application qui permet de prendre connaissance des offres sur le centre commercial pilote pour voir quels sont les rabais offerts. Si l'acheteur découvre un intérêt, il ou elle "checks it off" sur le mobile, une liste d'achats mobiles se créer.Les choix sont automatiquement envoyées à l'ordinateur à Kroger, qui identifie le consommateur par son numéro de carte de fidélité à la caisse, et la réduction est automatiquement appliqué. L'économie réalisé est importante par rapport aux coupons classique ! Le service peut être téléchargé sur le Web, le mobile, de tous les grands Opérateurs US, Kroger fera la promotion de l'application en magasin.

Source adage.com

mercredi 12 mars 2008

Le consommateur doit être acteur

"Le mobile est un média de service, de relation clientèle", ajoute-t-il. "Le danger serait de le considérer comme un média de masse. Au contraire, il est un média tactique, qui doit laisser l'utilisateur configurer l'offre de services publicitaires qu'il souhaite recevoir et ne pas lui imposer". Les marques sont ainsi de plus en plus nombreuses à proposer d'envoyer à leurs clients des offres privilégiées (promotions, jeux concours, etc.), notamment par SMS. BETC a ainsi lancé pour Air France la campagne promotionnelle Airmob : sous forme de jeu, elle propose aux internautes qui se sont inscrits sur le site de la compagnie aérienne de recevoir par texto des indications pour se rendre dans un endroit secret où se fera un tirage un sort leur permettant de gagner un voyage. Et il semblerait que cela marche : selon Nielsen, près de 15 % des internautes interrogés s'annoncent tout à fait disposés à recevoir de la publicité sur leur combiné si celle-ci correspond à leurs intérêts.

Publicité géolocalisé

Et ils sont plus de 20 % à s'attendre à voir le système se généraliser. Quelque soit le support utilisé - SMS, MMS, application Java ou vidéo -, le mot d'ordre reste donc le choix. Aux annonceurs d'inventer les moyens de séduire leur public. Parmi ceux sélectionnés, la publicité géolocalisée, qui profite de la multiplication des systèmes de GPS mobiles, s'annonce également très prometteuse, estime ainsi Julien Veillon, "si, là encore, le service correspond à une demande de l'utilisateur de recevoir des informations sur un type de boutiques ou de produits en particulier". "Si le consommateur a le choix, la publicité géolocalisée est un service très intéressant. S'il ne l'a pas, c'est de l'intrusion", conclut-il. A noter : dans le détail, les premiers adeptes de la publicité sur mobile sont les jeunes entre treize et dix-sept ans. Selon Nielsen, ils représentent près de la moitié des utilisateurs ayant reçu et consulté une réclame depuis leur téléphone.

mardi 11 mars 2008

Google ajoute des codes-barres 2D à ses publicités dans les journaux


Omniprésent sur la publicité en ligne, Google annonçait en novembre 2006 son intention de prendre des parts de marchés sur un autre support : les journaux papier. Sa plate-forme publicitaire « Google Print Ads » permet de placer des encarts publicitaires ciblés auprès de 225 magazines comme The Washington Post, The New York Observer ou encore The Seattle Times. Elle est ouverte à tous les clients de son programme de liens sponsorisés en ligne, les Adwords.
Jusque-là, les encarts placés dans les journaux grâce à Google étaient somme toute assez classiques. A l'instar des petites annonces, elles comportaient une illustration et du texte. Depuis peu, ces publicités peuvent être agrémentées de code-barre 2D.

Déjà dans la presse française

Ces petits carrés noir et blanc, contiennent une adresse Internet cachée, décryptable par un téléphone portable. Ainsi, en photographiant ces codes-barres 2D ou flashcode avec leur mobile, les internautes peuvent accéder à une page Web dédiée depuis leur mobile (à condition bien sûr que ce dernier dispose d'un accès à Internet). L'URL peut conduire sur un site plaquette, avec les détails de l'offre promotionnelle de l'annonceur, sans que l'utilisateur n'ait à saisir à la main cette adresse.
Toutefois, afin de pouvoir lire ces idéogrammes numériques, les consommateurs doivent au préalable avoir téléchargé gratuitement un logiciel capable de décrypter ces codes-barres 2D. Sur son site Internet, Google renvoie vers plusieurs d'entre eux, comme celui développé par Nokia pour ses téléphones.
Les codes-barres 2D sont très répandus au Japon. Le public les utilise massivement pour réserver des spectacles ou des chambres d'hôtel par exemple. En France, ils ont fait leur apparition dans les journaux papier dès 2007. Glissés dans le quotidien Economie matin, ils permettent au lecteur d'accéder à des vidéos en ligne complétant les articles d'actualité. La presse people s'y est mise aussi durant l'été 2007. Closer, Public et Voici, proposaient ainsi à leur lecteur de retrouver des contenus exclusifs en flashant des codes-barres disséminés dans leurs pages.
Source: http://www.01net.com

jeudi 6 mars 2008

Des bornes interactives vont fleurir à Rennes. Des bornes capables d'envoyer des informations sur votre téléphone portable.

Imaginez. Vous passez devant le TNB, la patinoire du Blizz ou la place de la République et votre téléphone portable vous avertit que vous avez la possibilité de recevoir un message multimédia (MMS). Première solution : vous refusez le message et poursuivez votre chemin. Seconde solution : vous acceptez et attendez quelques secondes que le message se télécharge. Une fois dans la mémoire de votre téléphone, il vous suffit d'ouvrir le MMS. Et vous découvrirez, par exemple, un extrait vidéo du prochain concert au TNB, une image vous apprenant une journée portes ouvertes au Blizz ou un message sur une manifestation qui se tiendra plus tard dans la journée sur la place de la République.

De la science-fiction ? Même pas. « Nous sommes en train de tester ce concept qui va être expérimenté avant l'été dans Rennes » assure Hugues Aubin, chargé de mission nouvelles technologies à la ville de Rennes. Une nouvelle révolution numérique que les habitants vont pouvoir tester en avant-première.

Bluetooth

« Depuis longtemps, nous avons pris le parti de faire participer les Rennais aux expérimentations numériques afin que l'on puisse rapidement se rendre compte si cela présente un intérêt ou pas. Et surtout ce que le public en attend. »

Mais comment marche ce système : « C'est relativement simple. Il s'agit de mini-ordinateurs très compacts que l'on peut placer pratiquement où l'on veut. Dans un commerce, un bâtiment, dans du mobilier urbain... Ces mini-ordinateurs sont équipés d'un émetteur Bluetooth capable de repérer tout appareil Bluetooth passant dans leur périmètre proche et de leur envoyer des informations spécifiques. »

A rappeler que le Bluetooth est une technologie de communication sans fil utilisant des ondes radios courte distance. Et la très grande majorité des téléphones portables disposent de la fonction Bluetooth. D'où son choix.

« En fait, avec ses bornes, nous allons pouvoir donner une dimension numérique à des lieux dans la ville. Chaque borne délivrant une information en rapport avec sa situation géographique et son environnement. » Des informations qui pourront être mises à jour à distance plusieurs fois par jour. Tout est pratiquement possible avec une seule restriction. « Inventer de nouveaux contenus à base de sons, d'images ou de vidéos. Les écrans des téléphones portables ne permettant pas la lecture aisée de textes. »

Dix bornes vont être testées dans la ville jusqu'à la fin de l'année et si l'expérience s'avère concluante, elle pourrait être étendue, voire généralisée.

Ouest-France

mardi 4 mars 2008

Pourquoi Virgin Mobile va lancer des SMS à un centime


Le 18 mars prochain, le prix des textos connaîtra une baisse notable, puisque Virgin Mobile proposera des SMS à un centime d’euro. Valable uniquement pour des envois en métropole, ce tarif sera accessible au travers d’une carte prépayée (à partir de 10 euros pour 1000 textos) ou d’un forfait bloqué (à partir de 19,90 euros pour 1990 SMS). « Actuellement, les SMS coûtent en moyenne de 10 à 12 centimes selon les opérateurs, souligne Julien Allisy, directeur marketing chez Virgin Mobile. Notre but est de recruter de nouveaux clients par cette offre. » Mais celle-ci présente une restriction à l’usage : les 1000 SMS, par exemple, doivent être utilisés en 15 jours. Pour ne perdre aucun texto, il faut donc en envoyer plus de 66 par jour durant cette période, alors que la moyenne française se situe à 37 SMS par mois, selon une étude récente de l’Arcep (autorité de régulation des télécoms). Virgin Mobile s’adresse ainsi aux très gros consommateurs de SMS. Pour l’opérateur virtuel, il n’en est rien, puisque « la moyenne nationale de l’Arcep ne reflète pas le comportement particulier de nos clients, avance Julien Allisy. Notre offre est également destinée aux utilisateurs qui envoient des SMS de manière épisodique et nos tarifs d’appels (0,42 euro par minute, ndr) sont compétitifs. »
source : http://www.digitalworld.fr

Les films Gaumont s'invitent sur l'iPhone

Lancé à la fin de l’année 2007 pour les téléphones mobiles et l’iPhone en particulier, le site http://mobile.gaumont.fr propose des extraits du catalogue des films Gaumont. Adapté à la navigation tactile de l’iPhone, le site permet de voir des bandes-annonces de films à sortir prochainement au cinéma ou en DVD, ainsi que des extraits de films sortis ces derniers mois. Les vidéos accessibles sur le téléphone d’Apple depuis ce site de la Gaumont sont au format Quicktime. Pour une fluidité et une rapidité accrue, la connexion en wifi s’avère un allié précieux. Dans le prolongement de ce service, la Gaumont s’est associée à Orange pour fournir une centaine de titres de son catalogue en VOD (vidéo à la demande) sur les mobiles dans le cadre de l’offre « 24/24 vidéo ».
source : http://www.digitalworld.fr

lundi 3 mars 2008

New Trend for 2008: Viral Marketing of Mobile Content Driving Profits in Europe; Coming to America

(LOS ANGELES, CA) – January 17, 2008 – Viral marketing continues to grow in popularity as new services such as MoConDi's MeYou platform continues to expand its worldwide reach in Europe and the U.S. MeYou allows and encourages content purchases to be shared with friends and social networks for incentives via mobile devices and is one to watch in 2008.

Mobile marketing is expected to grow to over $24 billion worldwide in 2013, jumping from just $1.8 billion in 2007, according to a new report released by ABI Research. Since a portion of this marketing spend is centered around retailing other mobile products and services, there is a clear opportunity for the implementation of one of the web' s most cost-effective form of online user acquisition, viral marketing.

Viral marketing capabilities and services continue to expand, as evidenced by Facebook's controversial service "Project Beacon", which allows your network to see items you have purchased through 44 participating retailers. Unlike Beacon, MoConDi's MeYou platform allows requires users to opt-in. MeYou is now available in Italy, with plans to hit the United States this year.

With MeYou, users are rewarded for purchases and recommendations, which result in a purchase with redeemable credits. Friends receive mobile message recommendations that contain a message from users, a download link for the content and a link to install the MeYouTM application. This further ensures the viral effect of the application.

The application has access to over 5,000 pieces of content via the MoConDi content management and delivery platform. Contracts in-conjunction with Italian operators Tre (H3G) and Vodafone have made MeYou one of their major sales channels for games and other content. According to a 2006 study by Nokia that centered on gaming, up to 79 percent of users would try a game demo if received from a friend.

Some interesting MeYou trends:

  • Data shows 60 percent of MeYou users have purchased mobile content in the past
  • Sixty-four percent of users send recommendations, with 24 percent of these users making purchases
  • In total, over 1.6 million users have received a MeYou recommendation from a friend in the past six months
  • Average carrier mobile storefront marketing costs have been reduced by 20 percent through the use of MeYou

"Viral marketing will be one of the biggest innovations in mobile commerce over the next several years as the mobile ecosystem gets serious about driving profits and efficiencies in retail," said JT Klepp, President of MoConDi.